Après Geoff Molson, un autre propriétaire se range derrière le retour des Nordiques

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La bataille de l’Ontario entre les Sénateurs d’Ottawa et les Maple Leafs de Toronto, c’est intense. Idem pour celle qui oppose les Oilers d’Edmonton et les Flames Calgary en Alberta.

Mais pour le proprio des «Sens», Michael Andlauer, tout ça est de la petite bière lorsque l’on tient de compte de la rivalité qui a fait rage entre les Canadiens de Montréal et les Nordiques de Québec.

«Pour moi, il n’y a rien de comparable», a affirmé Andlauer lors d’un entretien privilégié avec le journaliste de TVA Sports Renaud Lavoie.

Lorsque l'on demande sans détour à Andlauer s’il souhaite le retour des Nordiques, l’homme d’affaires est clair et limpide.

«Absolument, a-t-il répondu, catégorique. On parle de l’importance des rivalités. Los Angeles a deux équipes. New York a deux équipes, même trois si tu inclus Newark. De la façon que la convention collective a été conçue [avec un partage des revenus et un plafond salarial qui assurent une certaine parité, NDLR], financièrement, ça peut se faire si c’est bien géré.

«Il n’y a aucune raison que ça ne puisse pas se faire dans la ville de Québec.»

Après Geoff Molson qui a juré à plusieurs reprises sur la tribune publique qu’il appuierait un retour des Nordiques lors d’un vote à la réunion des gouverneurs, voilà un deuxième propriétaire canadien de la LNH qui se dit favorable au projet.

Ottawa, comme Québec

Si Andlauer y croit autant, c’est parce qu’il voit la ville d’Ottawa sous la même loupe que celle de Québec, en quelque sorte.

«Quand je vois les villes de Québec, Ottawa et Gatineau, je trouve que tellement de choses se ressemblent, a-t-il noté. Les racines de hockey sont creuses. Il y a un tournoi pee-wee à Québec et à Ottawa, le plus gros tournoi de hockey mineur au mois de décembre [Capital Cup]. Je vois tellement de parallèles.

«On est des villes un peu "underdog" : Ottawa par rapport à Toronto, Québec par rapport à Montréal.»

L’homme d’affaires a récemment la Vieille Capitale. La raison est fort simple : il voulait puiser l’inspiration dans les installations du Centre Vidéotron alors qu’il s’apprête à piloter l’important projet de la construction d’un amphithéâtre sur les plaines LeBreton.

«La philosophie, c’est "rip off and duplicate", a expliqué Andlauer. En gros, quels sont les meilleurs éléments que l’on peut calquer? On a seulement une chance de réaliser quelque chose de magnifique à Ottawa. J’ai été tellement impressionné par le Centre Vidéotron.»

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